














Article de Marianne Ciaudo
http://etang-de-kaeru.blogspot.fr/2013/03/non-au-nucleaire-main-dans-la-main-un.html
Article de Marianne Ciaudo
http://etang-de-kaeru.blogspot.fr/2013/03/non-au-nucleaire-main-dans-la-main-un.html
A l’invitation d’un collectif d’associations, Jean-Louis Basdevant s’est exprimé lors d’une conférence le 7 mars 2013 à Strasbourg sur le sujet polémique de la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim. Pour cet ancien professeur de l’Ecole polytechnique, c’est clair, il faut stopper Fessenheim immédiatement.
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Après la catastrophe de Fukushima, Jean-Louis Basdevant a selon ses propres mots « viré sa cuti ». En juillet 2011, il comprit que toutes les centrales nucléaires françaises pouvaient avoir le même problème qu’au Japon. Selon lui, « l’accident nucléaire grave » n’a été pris en compte en France qu’à partir de la conception de l’EPR, ce qui signifie qu’aucun réacteur en France n’est construit selon les normes de sécurité que l’on exigerait aujourd’hui. En effet, aucun réacteur français ne possède le moyen d’arrêter un corium suite à une fusion du cœur.
L’exemple de Fessenheim
Dans la centrale alsacienne, le socle en béton constituant ce qu’on appelle le radier a une hauteur de 1,5 mètre. Selon le physicien nucléaire, ce socle ne résisterait pas longtemps à un cœur fondu à 2800°C, et celui-ci atteindrait rapidement le sol géologique. La recommandation de l’ASN qui préconise de renforcer ce radier serait inefficace car l’ajout d’une épaisseur de 50 centimètres de béton ne retarderait l’avancée du corium que de quelques heures. A titre de comparaison, la centrale de Fukushima Daiichi a un radier estimé entre 6 à 8 mètres, et selon Jean-Louis Basdevant, le corium a traversé cette épaisseur en mars 2011 et se trouve actuellement en dehors de l’enceinte de confinement.
Un récupérateur de corium
La grande nouveauté de l’EPR ‒ dont on a bien du mal à obtenir un prototype et dont le coût a plus que doublé depuis le début des travaux à Flamanville (3,3 à 8,5 milliards d’euros) ‒ est le récupérateur de corium. Aujourd’hui, aucun réacteur en France ne possède ce système. La recommandation de l’ASN pour Fessenheim est d’assortir cette surcouche de béton d’un récupérateur de corium, ce qui nécessite des travaux d’un coût de 30 à 50 millions d’euros pour les deux réacteurs. Mais en cas d’inondation, que se passerait-il si le corium rencontrait brusquement une masse d’eau ? Dans les deux dernières catastrophes nucléaires (Tchernobyl et Fukushima), les spécialistes ont toujours craint une explosion de vapeur qui pourrait endommager gravement l’enceinte de confinement.
Présence du grand canal d’Alsace
Pourquoi craint-on une inondation à Fessenheim ? Le refroidissement des réacteurs est assuré par l’eau du grand canal d’Alsace qui est situé 9 mètres plus haut que le sol de la centrale. En cas de rupture de la digue (tremblement de terre, chute d’avion, …), la centrale serait rapidement inondée et se retrouverait dans la même situation que celle de Fukushima inondée par le tsunami.
Une nappe phréatique menacée
Sous la centrale de Fessenheim, la nappe phréatique rhénane affleure à 3 à 5 mètres de profondeur. Cette nappe est l’une des plus importantes réserves en eau souterraine d’Europe, contenant près de 80 milliards de mètres cubes d’eau. Elle assure 80% des besoins en eau potable de la région et plus de 50% des besoins des industries. Selon les prescriptions de l’ASN, un puits a été creusé en 2012 dans cette nappe pour alimenter un système de refroidissement de secours en cas de problème avec le refroidissement avec l’eau du canal. Or pour Jean-Louis Basdevant, cette disposition met la nappe phréatique en plus grand danger : en cas d’accident nucléaire grave, le corium n’a même plus besoin de percer la couche de béton qui est sensée protéger la réserve aquifère, car le puits est déjà fait par la main de l’homme. Si une rupture de confinement a lieu, les radionucléides auront une voie royale pour polluer le sous-sol.
« Un poignard dans le cœur de l’Europe »
Selon le physicien, c’est absurde d’avoir installé une centrale nucléaire à cet endroit précis. Située en zone sismique, sous la menace d’une inondation par le canal, menaçant de contaminer la nappe phréatique et la vallée du Rhin jusqu’à la mer du Nord, il affirme que c’est criminel de continuer à prendre le risque d’un accident grave contaminant une grande partie de l’Europe.
Qui est Jean-Louis Basdevant ?
Ancien élève de l’École normale supérieure, le physicien Jean-Louis Basdevant est directeur de recherche au CNRS. Il a été pendant 35 ans professeur à l’École polytechnique dont il a présidé le département de physique. Il donnait des cours de mécanique quantique, d’énergie nucléaire et d’énergie-environnement.
Spécialiste de physique des hautes énergies et d’astrophysique nucléaire, il a travaillé au Lawrence Berkeley National Laboratory, au CEA à Saclay, au Cern à Genève, dans des laboratoires américains et à l’INFN de Turin.
(source)
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En savoir plus
Jean-Louis Basdevant : « Pourquoi il faut stopper Fessenheim »(L’Alsace)
Arrêter Fessenheim, une décision vertueuse(Respublica)
Devrait-on arrêter Fessenheim ? (Partager pour comprendre)
Faut-il fermer Fessenheim ? (Newsring)
Maîtriser le nucléaire… ou fermer toutes les centrales nucléaires du monde (Blog de Fukushima)
Dossier Fessenheim (Sortir du Nucléaire)
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Action en justice
Les associations Réseau "Sortir du nucléaire", Alsace Nature, Stop Transports - Halte au nucléaire, Stop Fessenheim et le Comité pour la Sauvegarde de Fessenheim et de la plaine du Rhin ont déposé un recours gracieux contre l’avis de l’ASN sur la poursuite d’exploitation, au-delà de trente ans, du réacteur 1 et contre l’accord pour le renforcement du radier, le 15 février 2013. Ce recours étant resté sans suite, les associations ont déposé un référé et un recours sur le fond devant le Conseil d’Etat, le 21 mars 2013.
Lire le communiqué de presse commun
En savoir plus sur cette action en justice
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La conférence de J.-L. Basdevant en vidéo
il faut fermer immédiatement Fessenheim et les autres centrales nucléaires !!!
le Pr Basdevant ( ancien professeur de physique à l'école polytechnique) explique pourquoi il faut fermer immédiatement Fessenheim ( et les autres centrales nucléaires) et en quoi c'est crimine...
Janick Magne, professeure d’université à Tokyo, est une citoyenne française expatriée au Japon depuis 35 ans. Depuis mars 2011 et les
tragiques évènements qui se sont déroulés à Fukushima, elle décide de militer pour une sortie du nucléaire au Japon. L’ex-candidate d’Europe Ecologie Les Verts (EELV) aux législatives pour
l’Asie, l’Océanie et le Japon se rend plusieurs fois dans la préfecture de Fukushima pour parler aux habitants et rencontrer les mères mobilisées pour l’évacuation des territoires contaminés.
Soutenant activement la population évacuée, elle visite également plusieurs fois la zone interdite de Futuba et en rapporte des photos afin de réaliser une exposition.
Dans les semaines qui viennent, elle va parcourir la France pour témoigner de ce qui se passe au Japon depuis deux ans, en présentant sa conférence dans 5 lieux dont le dernier, Bonnet, se situe à quelques kilomètres de Bure, commune qui accueille le projet monstrueux du centre d’enfouissement de déchets nucléaires que veut imposer le village nucléaire.
Conférence « Fukushima, 2 ans après »
- GOLBEY (Vosges, près d’Epinal) > Vendredi 22 mars 2013, salle Barbelouze (place de la mairie) à 20h30
- CONDES (Haute-Marne, près de Chaumont) > Samedi 23 mars 2013, salle des fêtes (proche de la mairie) à 20h00
- SAINT-ETIENNE (Loire) > Mercredi 3 avril 2013
- CHAMBERY (Savoie) > Jeudi 4 avril 2013
- BONNET (Meuse, près de Bure) > Samedi 6 avril 2013
« C'est mon troisième voyage dans la zone interdite de Fukushima. On ne revient pas indemne de Fukushima. Mon objectif est clair et mes amis japonais y souscrivent entièrement : témoigner, dire l'horreur d'une catastrophe nucléaire, raconter comment du jour au lendemain tous ces gens ont perdu leurs biens, leur maison, leur travail, leurs rêves, leur vie. » (source)
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Lors de sa conférence, Janick Magne aborde la situation actuelle de la centrale de Fukushima Daiichi, mais aussi les conséquences sanitaires au Japon et les risques sur le long terme pour l’environnement. Alors que la centrale vient de subir à nouveau un black-out général empêchant le refroidissement des piscines de combustible, beaucoup de questions se posent encore autour de cette catastrophe qui dure, c’est pourquoi la conférencière laisse une large place à un échange avec le public.
Expo photos de la zone interdite (50 clichés)
PARIS, Mairie du 2ème arrondissement – du 25 au 31 mars 2013
EXPO PHOTOS
"Dans la zone interdite de Fukushima"
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50 photos de Janick MAGNE & Minami SHIMURA
« A l'invitation d'une famille japonaise amie originaire de la ville de Futaba, en zone interdite, j'ai pu me rendre à trois reprises sur les lieux, entre février 2012 et février 2013. J'en ai rapporté des photos qui montrent le drame humain en train de se jouer là-bas.
Suite à l'accident nucléaire de mars 2011, 70 000 personnes ont évacué en catastrophe en laissant tout derrière elles... Depuis deux ans, les communes de la zone sont restées en l'état. Décombres, tas de ferraille, magasins éventrés, toits écroulés sur la chaussée, champs et rizières envahis d'herbes folles, animaux morts, d'autres qui rôdent en liberté, lourdement contaminés... Pourtant, certains quartiers ont été totalement épargnés et de belles propriétés intactes témoignent encore de la richesse passée de cette région dont la production agricole et la pêche faisaient la réputation. C'est l'une des plus belles régions du Japon, avec ses forêts, le Pacifique au pied des collines et les montagnes à l'horizon... Aujourd'hui, ce ne sont plus que villes fantômes envahies par les rats et le silence, où la vie s'est arrêtée subitement... Il n'est pas facile de pénétrer dans la zone interdite, strictement contrôlée. Il faut en faire la demande à l'avance et justifier de raisons valables. La visite est limitée à 5 heures maximum et l'itinéraire doit être déclaré. Il faut, pour entrer dans la zone, enfiler des tenues blanches en non-tissé et un masque léger mais ils ne protègent pas des radiations, ils évitent simplement de rapporter sur soi de la poussière contenant des radionucléides ou d'en respirer... »
Janick Magne
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En savoir plus sur Janick Magne :
Interview de Janick Magne par Kibo Promesse
Levée de restriction de plantation du riz pour certaines zones contaminées
Le gouvernement annonce la levée de restriction pour Naraha machi, Kawauchi mura, Kawamata machi, Iitate mura, et Minamisoma city où des expérimentations vont être effectuées.
(source)
"KAKUSEI: The Fukushima End"
Mise à jour 20 mars 2013, 11 h
Selon les informations fournies par Tepco, le système électrique a été réparé entièrement. La panne aurait été produite par un rongeur ! Ou comment un tout petit animal pourrait être à l’origine d’une nouvelle catastrophe nucléaire mondiale… Qui a dit qu’un tremblement de terre ou un tsunami étaient nécessaires pour créer un blackout ?
Pour plus d’informations :
The blackout was caused by a mouse in the panel board, the board has been left on the truck since 3/18/2011 (Fukushima Diary)
Fukushima : reprise complète du refroidissement des piscines de stockage (Le Monde)
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A l’été 2012, une panne s’était déjà
produite sur le système de refroidissement de la piscine n°4. Cette fois-ci, c’est une panne plus grave puisque, selon l'agence Kyodo se référant à Tepco, 3 piscines du site nucléaire ne sont
plus alimentées en électricité.
En fait, la coupure de courant, lundi soir à 18h57 a provoqué l'arrêt du système de refroidissement de 4 piscines : celles des réacteurs n°1, 3 et 4 de l’ex-centrale de Fukushima Daiichi et aussi la piscine commune qui contient 6377 assemblages (environ 1000 tonnes de combustible). Tepco a mis 3 heures pour informer la Commission japonaise pour le contrôle de l'énergie atomique (NRA). Cette agence indique que l’injection d’eau dans les ex-réacteurs n’a pas été stoppée. Selon RT (Russie Today), Tepco aurait affirmé avoir trouvé la cause de la panne et avoir commencé à travailler à la réparation.
A l'heure ou nous écrivons, la température de l'eau dans les piscines se situe entre 13° et 25°C. Alors que la température monte progressivement de 0,1 à 0,3°C par heure, cela laisse une marge de manœuvre de quelques jours à l’opérateur pour réparer le système. Les spécialistes et les veilleurs de Fukushima sont surtout préoccupés par l'état de la piscine du réacteur n°4 dont le bâtiment avait été fortement ébranlé, déformé ou détruit par une explosion d’hydrogène le 15 mars 2011. Mais dans le cas de figure d’une possible évaporation de l’eau, les piscines 1 et 3 sont tout aussi inquiétantes dans leur pouvoir de nuisance. Si le système de refroidissement ne se remet pas en marche, la température de l'eau atteindra le niveau maximal autorisé de 65°C en 4 jours.
Fukushima Diary relève avec justesse ce que nous avions déjà dénoncé en juillet 2012 : il n’existe toujours pas de système de secours de refroidissement à Fukushima Daiichi, 2 ans après le début de la catastrophe !
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PS : je n’aurai pas la possibilité de faire des mises à jour dans la journée de mardi. Pour suivre l’actualité sur Fukushima, cliquer ici ou là.
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Sources:
Blackout(Fukushima is still news)
[Analysis] The sudden blackout revealed the weakness of Fukushima plant, “Reactor4 has 4 days to go”(Fukushima Diary)
Crucial system fails at Japan's quake-damaged nuclear plant (CBC News)
Fukushima : le système de refroidissement du combustible usé hors service (La voix de la Russie)
TEPCO reports power failure at Fukushima, stops cooling system (RT)
Panne de courant à la centrale de Fukushima (le jdd)
Panne de courant à la centrale de Fukushima (20 minutes online)
#Fukushima I Nuke Plant Cannot Cool Spent Fuel Pools, Cause Unknown (EX-SKF)
Power blackout at crippled Japanese nuclear plant (Khon2)
Centrale nucléaire de Fukushima: un système de refroidissement en panne (RiaNovosti)
A Paris le 9 mars : Encerclons les lieux de pouvoir où se prennent les décisions sur
le nucléaire !
9 mars 2013 : Rassemblement de commémoration, non violent, silencieux et visuel, des victimes de la catastrophe nucléaire de Fukushima.
De 18h30 à 22h30 sur le parvis de Notre Dame de Paris.
9 mars 2013 : Rassemblement à Montpellier (34)
10 mars 2013 : Commémoration internationale de Fukushima et demande d’arrêt de la centrale de Fessenheim.
A partir de 14h15 sur l’Île du Rhin entre le village de Chalampé et la ville allemande de Neuenburg (à environ 12 km au sud de Fessenheim.)
11 mars 2013 : Janick Magne sera en direct sur Skype à la mairie du 2e arrondissement de Paris à partir de 19h et pour une heure environ (questions-réponses) avec Benjamin Dessus, co-fondateur de Global Chance.
11 mars 2013 : Exposition de Tetsuro Ohno
Mairie du 2e arrondissement de Paris, 8 rue de la Banque, Métro Bourse.
11 mars 2013 : Commémoration de la catastrophe nucléaire de Fukushima et rassemblement contre le crime nucléaire à Avignon
18h au Monument aux Morts de l’Hôtel de Ville d’Avignon.
11 mars 2013 : "Nuclear Fallout"
Rassemblement à partir de 12h30 place de la Réunion à Mulhouse et à 12h45 : "die-in"
13 mars 2013 : Exposition "De Tchernobyl à Fukushima" à Genève
Du 13 au 28 mars 2013 au foyer de St-Gervais Genève Le Théâtre, 5 rue du Temple, Genève.
14 mars 2013 : Conférence "Fukushima c’est nous" à Lyon (69)
A partir de 19h00 à la Maison Rhodanienne de l’Environnement - 32 rue sainte Hélène - 69002 Lyon (Métro Ampère ou Bellecour)
15 mars 2013 : Projection du film « Fukushima une population sacrifiée »
à 19h30 à Saint-Amarin (Haut-Rhin), puis débat avec Haruko Boaglio et Yûki Takahata, fondatrice de Yosomono-net, réseau international de ressortissants japonais pour la sortie du nucléaire. D’autres informations dans ce document
15 mars 2013 : Fukushima, la population sinistrée et la terre contaminée
Débat public à l’occasion de la 2e année de l’accident nucléaire, avec Bruno Chareyron, Kurumi Sugita, Yoko Higashi, Anan Atoyama, animé par Marie Augendre.
19h30, Bibliothèque municipal du 1er arrondissement de Lyon.
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22 mars 2013 : Conférence « Fukushima 2 ans après… » avec Janick Magne
A 20h30, salle Barbelouze, place du Souvenir - 88190 Golbey (près d’Epinal)
22 mars 2013 : Soirée de solidarité avec les victimes de la catastrophe de Fukushima organisée à Paris par le groupe Yosomono-net, projection des films "En confinement" & "Femmes de Fukushima", table ronde et débats.
23 mars 2013 : Conférence « Fukushima 2 ans après… » avec Janick Magne
A 20H00, salle des fêtes de Condes (proche de Chaumont)
23 mars 2013 : Rendez-vous artistique et théâtral à la Maison Pour Tous, Centre Social de Brives Charensac (Haute Loire, 43)
à partir de 15 h, ateliers de créations
20h30, pièce de théâtre de Nicolas Lambert : Avenir radieux, une fission française.
Tokyo
- 9 mars 2013 : Sayounara nucléaire (Adieu nucléaire), un des grands
groupes de l’anti-nucléaire au Japon, soutenu par des intellectuels comme Kenzaburo Ooé (écrivain prix Nobel), Ryuichi Sakamoto (musicien) etc., organise un grand rassemblement le 9 mars au
parc Meiji à Tokyo.
http://yosomononet.blog.fc2.com/blo...
- 10 mars 2013 : Grand rassemblement zéro nucléaire
à Hibiya koen (quelle que soit la météo)
13h, rassemblement
14h, départ du cortège
17h-19h, devant la Diète
organisé par : Coalition métropolitaine antinucléaire de Tokyo
renseignement : info@coalitionagainstnukes.jp
* France
A huge
Human chain in Paris people coming from everywhere even from Belgium and Germany Saarland, Bad Württemberg and Luxembourg.
And also one in Bordeaux for those who are to far from Paris.
Buses are going to Paris from Switzerland and from Italy
• North America
A human chain in Ottawa Canada capital and one in Detroit Michigan USA.
And many other places, info are coming later.
In New York : Symposium with Dr Helen Caldicott
Appel à organiser des flashmobs le 11 mars à 12 h 45 http://www.fallouts.org
• Mongolia
In Ulan Bator.
Enseignements de Fukushima
Un dossier de Greenpeace à lire en français. Il date de mars 2012, mais la traduction est récente.
Cliquer ici pour télécharger le dossier
Soutien au blog de Fukushima
Chaîne vidéo du blog de Fukushima
BD : Fukushima-Chronique d'un accident sans fin (Bertrand Galic, Roger Vidal)
Présentation de la BD par l'éditeur
Dossier documentaire 10 pages sur Fukushima (Pierre Fetet)
Dossier sur le rejet des eaux contaminées dans le Pacifique
« Fukushima - Rejets dans le Pacifique : clarification et mise en perspective »
Une analyse critique des données concernant les rejets des eaux radioactives de la centrale de Fukushima Daiichi initiés en août 2023, dossier réalisé par la CRIIRAD qui tente de répondre à ces questions : Quels sont les principaux défis auquel est confronté l’exploitant de la centrale ? Quels sont les éléments radioactifs rejetés dans le Pacifique ? Les produits issus de la pêche sont-ils contaminés ? Est-il légitime de banaliser le rejet d’éléments radioactifs, notamment du tritium, dans le milieu aquatique ? Qu’en est-t-il en France ?
Spectacle
Le spectacle d'Audrey Vernon "Fukushima, work in progress" est disponible en ligne à cette adresse :
https://www.imagotv.fr/spectacles/fukushima_work_in_progress
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« Sans le web, mémoire vive de notre monde, sans ces citoyens qui n’attendent pas des anniversaires, de tristes anniversaires, pour se préoccuper du sort des réfugiés de Fukushima, eh bien le message poignant de Monsieur Idogawa (maire de Futuba) n’aurait strictement aucun écho. » (Guy Birenbaum, Europe 1, 1er mars 2013)
Les Éditions de Fukushima : des livres à télécharger et à diffuser librement
Le dernier livre de Jean-Marc Royer
Le dernier numéro d'Atomes crochus
Frankushima : un essai graphique sur la catastrophe de Fukushima et le risque nucléaire en France. Site dédié : frankushima.com
Un livre essentiel sur les conséquences de Tchernobyl
Télécharger la version française ici.
Un livret pour tout apprendre sur le nucléaire !